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Alain Rohand, le 18/11/2019

Globalement je pourrais signer le texte d'Agnès et François. Il suffirait d'adapter le concret des situations personnelles au regard de ma propre cellule familiale.

Je devrais probablement y ajouter quelques « sources de souffrances personnelles et spirituelles » que les gens d'église m'ont infligées. Mais tout cela, avec l'âge (je suis septuagénaire) finit par se diluer…

Tout cela pour répondre à la question du « chapeau » de l'article. Il en va d'ailleurs de même pour environ 90 % de mon entourage d'origine catholique.

Cependant, le titre « l'église n'est plus notre affaire » m'interpelle toutefois. En effet, la boutique n'est plus mon affaire non plus, puisque j'en suis sorti. Reste le côté « communautaire » que j'ai pu connaître dans le cadre de groupes restreints où se partageaient l'expérience spirituelle, l'engagement commun, le sens du « faire et être ensemble », et d'autres valeurs que d'aucuns qualifieraient de « chrétiennes » et que je préfère appeler humaines ou humanistes. Cela reste une question. Certes j'ai retrouvé d'autres lieux et d'autres groupes, mais un « quelque chose&» manque.

L'aventure de Jésus ne fait sens pour moi que dans la mesure où elle n'est pas « solitaire » ni du style « seul contre tous ».

Ce qui est clair, bien évidemment, c'est que je n'ai nulle intention de retourner dans une boutique qu'il vaut mieux laisser s'écrouler et voir ce que « l'esprit rebâtira » si toutefois il en a le courage&! ;-)