Pour ajouter un commentaire ou une page au débat,
envoyer un mail à nicodeme@dieumaintenant.com
en précisant sur quel article vous réagissez.
Pour suivre le fil d'un débat, commencer en haut de page.
Pour lire les nouveaux messages, commencer en bas de page.
Merci Jean-Michel pour cet article sur Marc Sangnier qui me paraît donner une image vraie de ce prophête du début du siècle dernier.
Mon Pére, né en 1887 appartint au Sillon, puis au Sillon Catholique, enfin à la Jeune République, j'ai donc été nourri de la pensée de Marc et je crois qu'avec Mounier et Péguy, il a marqué profondéent mon engagement politique et social, et aussi ma spiritualité chrétienne. Sur l'histoire et la pensée de Marc j'ai appris beaucoup de choses dans cet article et, historien du dimanche, je n'y ai trouvé aucune inexactitude ou ambiguité.
Tu évites de parler d'un point qui m'a longtemps fait mal : le virage à droite du MRP et d'un certain nombre de ceux qui se disaient disciples de Marc Sangnier. Cette pensée, il me semble, peut interpeller beaucoup de chrétiens du XXIeme siècle et tout spécialement les jeunes. Je crois que la pensée de Marc n'a pas pris une ride et qu'elle peut ouvrir les yeux de beaucoup, désemparés par la disparition ou la dilution de l'Action Catholique.
Merci pour cet article qui a fait remonter des souvenirs. J’ai longtemps cru que mon évolution avait commencé avec la J.O.C. et le Centre de Culture Ouvrière. Je viens de m’apercevoir que le terreau familial avait été plus important que je ne le pensais.Des souvenirs sont revenus en vrac. Je remarque qu’à chaque fois que je lis quelque chose concernant le Sillon ou Marc Sangnier, ce n’est pas une découverte... je savais... et pourtant je n’ai jamais lu, personnellement, quoique ce soit le concernant. Mais, je sais, (!) y compris la “trahison” (!) du MRP.... A l’âge où l’on fait une pause pour questionner, mes parents étaient morts depuis longtemps. Je sais seulement que mon père était très lié avec un de ses cousins, très engagé politiquement et “proche” de Marc Sangnier. Je crois donc pouvoir dire “qu’ils en étaient”. Un nouveau point d’interrogation a trouvé sa réponse. Merci à vous, à Marc Sangnier... et au “cousin Jean J.”
